| 
       | 
      
  
   
	
	Il faut être atteint de cécité pour ne pas voir que la personne assise à 
	droite de Jésus est une femme !
 
		
  Nul n’ignore, d’après 
	les Évangiles, que Jésus qualifiait les Hébreux, ses compatriotes, de « 
	vipères » et « fils de vipères », ou que tout un mythe ecclésiastique a été 
	construit sur le fait qu’ils l’ont tué sur un poteau ou une potence, la 
	croix étant inexistante à l’époque. Et nul n’ignore aussi que saint Paul, 
	qui façonna le christianisme actuel, planta les semences de l’antisémitisme. 
	Ce mythe constitue ce qu’on appelle la Tradition, formée le long des 
	Conciles et à travers les écrits pontificaux. Ci-suivent quelques citations 
	qui révèlent à quel point l’idée était ancrée dans le fonctionnement de 
	l’Institution vaticane, dès les premiers siècles jusqu’à Vatican II, qui 
	marque un changement catégorique d’attitude, de situations, et finit par 
	reconnaitre la formation de l’Etat usurpateur et aider à l’implantation des 
	sionistes en Palestine où un nettoyage ethnique se mène ouvertement depuis 
	une soixantaine d’années. 
	
	Quelques bulles pontificales citées à titre d’exemples : 
	Une petite précision d’abord : Une bulle papale est un 
	document d’importance par lequel le pape pose un acte juridique, une 
	nomination épiscopale, une définition dogmatique. Jusqu’en 1903 les bulles 
	étaient datées de l’année de l’Incarnation du Christ, le 25 mars. Le pape 
	Pie X a modifié cette coutume pour utiliser le calendrier civil usuel 
	commençant le 1er janvier ! Ce qui démontre que remanier textes ou dates est 
	une tradition à mesures variables : 
	1205 : Etsi non displiceat (Même si cela ne 
	déplaît pas), par le pape Innocent III au roi Philippe Auguste. Le pape 
	accuse les juifs d’extorquer en France non seulement les usures mais l’usure 
	des usures, d’usurper les avoirs des églises et les propriétés des chrétiens 
	; confirme la prohibition des nourrices dans les maisons juives ; assure la 
	préférence du témoignage chrétien ; accuse les juifs d’insulter publiquement 
	les chrétiens et Jésus-Christ ; tuent les chrétiens furtivement et finit par 
	exhorter le roi à abolir de tels abus et à punir les blasphémateurs. 1218 : 
	In generali concillio (En général je convoque), par Honorius III, destinée à 
	l’archevêque de Tolède et ordonne l’exécution des décisions du 4e concile de 
	Latran, qui prit plusieurs mesures à l’encontre des juifs.
	1239 : Si vera sunt (Si vraiment ils sont), par 
	Grégoire IX. Il demande la confiscation et l’inspection des livres du Talmud 
	par les prélats de France et d'Espagne.
	1244, le 9 mai : Impia Judaerum perfidia (La 
	perfidie impie des juifs), par Innocent IV, adressée au roi Saint Louis. Le 
	pape exhorte le roi à brûler le Talmud et divers autres livres juifs dans 
	tout son royaume. Il explique comment, en attendant la conversion des juifs 
	au christianisme, il tolère leur cohabitation avec les chrétiens. Ces juifs 
	qui ne tolèrent pas la foi chrétienne, qui ont renoncé à la loi de Moïse et 
	des prophètes, qui ont renoncé au mandat divin, et que leurs enfants sont 
	nourris et enseignés par le Talmud qui contient des blasphème contre le Dieu 
	et son Christ, la Vierge marie, des abus faux et des bêtises inouïs. Puis, 
	le pape exhorte de roi à brûler publiquement, devant le clergé et le peuple, 
	le susdit livre abusif.
	1247 : Lacrymabilem Judaeorum (Les larmes des 
	juifs), par Innocent IV. Il suffit de lire la REVUE PRATIQUE D'APOLOGÉTIQE 
	pour voir le va et vient du meurtre rituel commis par les juifs et comment 
	les papes se passent l’accusation ou la réhabilitation à travers les siècles 
	; comment le 24 novembre 1805, Pie VII confirma un décret de la congrégation 
	des Rites accordant à l'église de Saragosse un office et une messe du commun 
	d'un martyr, en l'honneur du petit Dominique de Val, que les juifs ont tué 
	en l’an 1230, c’est-à-dire six siècles après le dit meurtre rituel !!
	1554, 29 mai : Cum sicut nuper (Depuis 
	récemment), par Jules III, qui commence par dire : « Depuis récemment, avec 
	de la peine dans notre âme, nous avons décidé que le Talmud et d’autres 
	livres mentionnant Jésus-Christ ignominieusement soient damnés et brûlés », 
	puis ordonne l’investigation des écritures talmudistes, et que dans quatre 
	mois les livres contenant tels passages doivent être délivrés sous peine de 
	châtiments pécuniaires ou, si leur obstination ou qualité du délit l’exige, 
	corporelles.
	1555, 14 juillet : Cum nimis absurdum (Comme il 
	est absurde), par Paul VI. Le pape commence sa bulle en précisant « Comme il 
	est absurde et totalement inopportun que les juifs, qui, en raison de leur 
	propre faute, ont été condamnés par Dieu à un esclavage perpétuelle » (…) 
	puis impose des restrictions religieuses et économiques aux Juifs dans les 
	Etats pontificaux, réactualise les lois anti-juives, leur impose diverses 
	opprobres et restrictions et l’interdiction de posséder des biens 
	immobiliers, de pratiquer la médecine ou de guérir des chrétiens.
	1581, 30 mars : Alias Piae memoriae (Notre 
	prédécesseur Paul IV), par Grégoire XIII. Il confirme les condamnations 
	imposées par Paul VI et recommande l’application de cette interdiction sur 
	toutes les terres. Cette bulle crée aussi le ghetto de Rome où les juifs 
	sont isolés dans un quartier entouré de murs avec trois portes fermées à 
	clés la nuit, et les limite à une seule synagogue par ville. Ensuite Pie IV 
	impose la création de ghettos dans la plupart des villes italiennes, et Pie 
	V interdit la présence des juifs dans ses domaines en dehors de Rome et 
	Ancône et le recommande aux autres Etats voisins (cf. Hebraeorum gens).
	1581, juin : Antiqua Judaerum improbitas 
	(l’Ancienne perversité des juifs), par Grégoire XIII. Dans ce Motu proprio 
	(document par lequel le pape pose un acte juridique), le pape accuse 
	l’ancienne perversité des juifs, de leurs pères et leurs descendants, qui 
	ont repoussé le fils de Dieu et on attenté criminellement à sa vie, puis 
	autorise les inquisiteurs à contrecarrer et punir certaines pratiques 
	considérées hérétiques. Suivent ensuite quatorze actions qui nécessitent le 
	châtiment ! Le pape explique qu’après avoir été abandonnés dans la servitude 
	perpétuelle et furent dispersés dans tous les pays du monde, les juifs n’ont 
	trouvé clémence que dans les terres des chrétiens, et que le siège 
	apostolique a accepté et tolère leur cohabitation avec les chrétiens, en 
	s’efforçant à leur conversion, tâche toujours de les attirer à la vérité.
	1569, 4 mars : Hebraeorum gens (Le peuple 
	juif), par Pie V. Le pape commence par un exposé des motifs concernant les 
	juifs, perfides et ingrats, méprisés et dispersés à cause de leur 
	incroyance, qui dérobent les chrétiens de leurs subsistances par l’usure. Il 
	trouve qu’ils sont susceptibles aux attaques des chrétiens et ordonne aux 
	juifs de quitter ses domaines dans trois mois. 
	1593, 25 février : Caeca et Obdurata (Aveugle 
	et insensible), par Clément VIII, qui accuse la perfidie aveugle et 
	insensible des Hébreux ; elle ne reconnait pas la miséricorde envers eux de 
	l’Eglise, qui attend patiemment leur conversion, malgré les infamies 
	détestables quotidiennes qu’ils commentent au détriment des chrétiens. Il 
	accuse les juifs d’avoir arraché de ses prédécesseurs quelques permissions, 
	qu’ils ont ruinés et assiégés beaucoup de citoyens et les ont dépourvus de 
	leurs biens, par des monopoles, des fraudes et des ruses. Le pape révoque, 
	abolit et annule privilèges et permissions accordés par Pie IV et Sixte V.
	1593, 28 février : Cum hebraeorum malitia 
	(Quand la méchanceté des hébreux) ; trois jours après avoir écrit Caeca et 
	Obdurata, le pape Clément VIII, accusant les hébreux d’inventer de nouvelles 
	fourberies, par lesquelles ils répandent des livres impies, pernicieux, 
	complètement détestables, damnés dans les temps anciens, doivent être 
	interdits récemment. C’est pourquoi il estime dangereux pour le peuple 
	chrétien de fermer les yeux sur ce dérèglement. Désirant appliquer un remède 
	à ce mal, Clément VIII suit l’exemple de ses prédécesseurs Grégoire IX, 
	Innocent IV, Clément IV, Jean XXII, Jules III , Paul IV et Grégoire XIII qui 
	ont souvent appelé ce Talmud impie, damné, interdit et exterminé du monde 
	chrétien, le pape Clément VIII approuve et renouvelle toutes les lettres 
	papales et les documents concernant les juifs, interdit de posséder des 
	livres talmudiques, annule, révoque et invalide toutes les concessions et 
	permissions accordées, fixe des dates limites pour l’exécution de ces ordres 
	: 10 jours pour les habitants de Rome et deux mois pour ceux qui habitent 
	hors la ville.
	
	Vatican II : un revirement fatal pour l’Eglise :
	Chose étrange, malgré tous ces écrits accusant les Hébreux le long des 
	siècles, le concile œcuménique Vatican II (1962-1965) dont l’Eglise vient de 
	célébrer le cinquantième anniversaire du début de ses travaux, a simplement 
	et catégoriquement réhabilité les Juifs du meurtre déicide, en imposant le 
	poids infâme de cet acte sur la conscience de tous les adeptes chrétiens !! 
	C’est-à-dire en contrecarrant ou en bafouant 2000 ans d’Histoire et de 
	Tradition imposées et surtout en se moquant de la foi de son milliard 
	d’adeptes... 
	Il est intéressant de voir comment le pape François, prenant Vatican II 
	comme référence, cite à la note (6) dans son Motu proprio un commentaire de 
	Paul VI : «Qu’il suffise de rappeler les affirmations du Concile (…) Cela 
	nous montre l’importance capitale que le Concile, en conformité avec la 
	tradition doctrinale de l’Église, attribue à la foi, à la vraie foi, celle 
	qui a pour source le Christ et pour canal le Magistère de l’Église ». 
	(Audience générale, [8 mars 1967] : Insegnamenti V [1967], 705). Ce qui veut 
	dire : le système burlesque, commencé il y a des siècles, continue son 
	chemin de manipulation.
	On ne peut que se demander comment un tel changement du Texte, imposé comme 
	étant divin au concile de Trente, ou un tel virement d’attitude, 
	réhabilitant les Juifs du meurtre déicide, peut s’appeler être « en 
	conformité avec la tradition doctrinale de l’Église » ! Est-ce par ignorance 
	des textes pontificaux ou par désinvolture ? Bien plus, ces papes ont poussé 
	l’audace et la frénésie jusqu’à l’extrême en osant jusqu’à dire : « Nous 
	tenons sur cette terre la place du Dieu tout-puissant » (Léon XIII, 
	encyclique du 20 juin 1894). Et Innocent III de surenchérir pour consolider 
	le pouvoir papale : « En vérité, il n’est pas exagéré de dire qu’étant donné 
	le caractère sublime de leur charge, les prêtres sont autant de dieux » !
	
	Un autre exemple frauduleux :
	Ce n’était point la seule et unique fois que cette Église, qui se veut et 
	s’impose comme universelle, qui ne cesse de créer des troubles partout avec 
	sa prétendue « évangélisation du monde », contredise ses Textes, sacrés ou 
	divin, ou même sa sainte Tradition. La liste serait énormément longue, mais 
	citons à titre d’exemple la prohibition de l’Art qui touche les deux, le 
	Divin et la Tradition :
	Selon les dix Commandements, l’Art est prohibé : « Tu ne te feras point 
	d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut 
	dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus 
	bas que la terre » (Exode 20 :4). L'exclusion est absolue et n'admet pas 
	d'exception : défense est faite de sculpter aucune image, aucune figure de 
	ce qui est en haut dans le ciel, ou de ce qui est en bas sur la terre, ou de 
	ce qui est dans les eaux plus bas que la terre; défense d'adorer ou de 
	servir ces emblèmes. La formule est, on le voit, des plus générales et 
	englobe toutes les représentations de la divinité, toutes les formes 
	d'idolâtrie qui pouvaient être en usage parmi les divers peuples avec 
	lesquels Israël devait se trouver en contact... Et pourtant, l’Eglise, dans 
	le second concile de Nicée en 787, après de longues disputes ecclésiastiques 
	et surtout pour contrecarrer l’islam en pleine expansion, a su contredire 
	son Texte divin, imposer l’art comme « Bible pour analphabètes », puisque 
	politique exige, et, ce qui plus est : élimina le texte de ce second 
	commandement !!
	
	Le triste verso d’une Institution :
	Si le recto de cette Institution suinte de tartufferies, des adeptes bien 
	renseignés confirment que l’on trouve aussi des falsifications dans la vie 
	des papes : Hans Kung, catholique et théologien, qui fut conseiller de 
	Vatican II, avait déclaré que dès le Ve siècle, les papes « étendaient sans 
	hésiter leur pouvoir en recourant à des falsifications manifestes » 
	(l’église catholique : une histoire courte). Non seulement des 
	falsifications, des manipulations, des fraudes ou autres, mais cette 
	Institution qui insiste à tenir les deux glaives du pouvoir étatique et 
	spirituel depuis sa fondation, finit par s’avérer être engloutie dans des 
	affaires de blanchiment d’argent, de trafic d’armes, d’organes et d’enfants, 
	de pédophilie, d’affaires politiques, de colonisation et de meurtres 
	planifiés. 
	
	Quelques suggestions :
	Une telle Institution, qui jouit d’une longue 
	expérience dans la manipulation des Textes sacrés ou divins ou même forgés, 
	lors des conciles et autres, ne saurait-elle pas éliminer les textes qu’elle 
	a formés et imposés le long des siècles, pour résoudre au moins les 
	problèmes de ses adeptes et surtout ceux qu’elle impose au monde ?
	
	* Éliminer le célibat des prêtres, qui fut 
	imposé à travers les conciles, puisque les évangiles disent que les apôtres 
	étaient mariés, et les apocryphes assurent que même Jésus, le grand prophète 
	qui mangeait et éprouvait ses besoins, l’était aussi : (cf. la Cène de da 
	Vinci). N’est-il pas plus humain et plus honnête de cesser d’être une 
	machine à former des pédérasties ? 
	* Éliminer les règles refusant le divorce aux 
	adeptes, qui du point de vue canonique portent atteinte au « mariage forcé 
	du Christ avec l’Eglise » que le Magistère voudrait éternel, les éliminer 
	car il n’y avait pas d’églises au temps de Jésus et il demandait à ses 
	adeptes de prier dans leur chambre ; 
	* Abroger la reconnaissance de l’Etat d’Israël, 
	usurpateur de la Palestine en toute arrogance, au vu et u su de toute la 
	société internationale, surtout que Vatican et Saint-Siège connaissent 
	parfaitement une chose : les sionistes n’ont point le droit sur cette Terre, 
	car le don de la Terre de Palestine était conditionné par l’obéissance, et 
	ces Hébreux ont foncièrement désobéit, reprirent le veau et tuèrent les 
	prophètes.
	* Cesser de perpétuer le rôle du jongleur ou du 
	prestidigitateur, car tous ces manèges et ces feux-d’artifices fort 
	médiatisés, ne changeront en rien le fait que cette Institution bicéphale 
	est élevée sur un tas de mensonges accumulés. 
	* Reconnaitre et annoncer au monde le mariage 
	de Jésus avec Marie-Madeleine, assise à sa droite dans le tableau de la cène 
	de Da Vinci. C’est ce qui est écrit dans les apocryphes que l’Eglise a 
	éliminé pour des raisons d’avidité terrestre.
	
	Le 10 novembre 2013
	 
		
  
      أفاتيكانٌ ألعوبانىّ ؟