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Nul n’ignore de nos jours que la mondialisation progresse à pas géants.
L'économie mondiale est beaucoup plus intégrée, de nouveaux traités
économiques unissent plus étroitement le domaine de la finance, grâce à
toute une série d'institutions internationales, à commencer par la City
de Londres, les Nations Unies, la Banque mondiale, le FMI, ou la Banque
des règlements internationaux. En fait, les gouvernements du monde
travaillent ensemble à un degré accéléré. Nul n’ignore aussi que les
deux domaines, politique et social, suivent le même rythme. Qu’en est-il
donc de la religion, quatrième et dernier pivot de ce Nouvel Ordre
Mondial ? Peux-t-on également dire que nous assistons aussi à la
mondialisation de la religion ? Bergolio, ce "fourbe de jésuite" comme
certains s’amusent à le décrire, étant à la commande, semble déjà engagé
sur la voie du non-retour…
Déjà engagé, certes, puisque son prédécesseur, Benoît XVI appela
clairement, dans sa première encyclique "Caritas in Veritate" (2009),
face à la crise financière globale et la crise économique de 2008, à
l’instauration d’une "véritable autorité politique mondiale". Incitant à
travailler en liaison avec les Nations Unis, animées de principes
maçonniques...
Du 25 au 27 Septembre, l’Organisation des Nations unies a lancé un
nouveau programme universel pour l’humanité, composé de 17
objectifs, à réaliser d’ici 2030. Cette annonce vient directement du
document de base pour ce nouveau programme. Il a été baptisé "Les
Objectifs Mondiaux". C’est un des plus grands pas jamais pris vers une
gouvernance mondiale, et touche à l’économie, l’agriculture,
l’éducation, l’égalité du genre, la santé. Le pape François est allé à
New York pour un discours qui a lancé cette conférence, donnant ainsi
son entier consentement à ce nouveau projet. En fait, toutes les nations
présentes ont signé, de grès ou de force, pour les dix-sept objectifs de
ce plan, mais cet événement étonnant n’a point suscité l’intérêt des
medias internationaux.
François/Vatican :
Le 25 septembre 2015, à la cathédrale Saint-Patrick de New York, le pape
François a approuvé ce nouvel agenda de 2030 aux Etats-Unis, et déclara
que la vie de Jésus-Christ s'est soldée par un échec ! Expression qui
n’a rien de flatteur de la part de celui qui est habitué à des
déclarations exagérées ou provocantes. Depuis le fameux décret "Nostra
Aetate" (1965), d’un parcourt tortueux qui le place en vrac dans la
lignée du NOM, François ne cesse ses tentatives spectaculaires
d’œcuménisme ou de rapprochement. Bien plus, un mouvement préfabriqué
dit que Christianisme et Islam sont deux chemins vers le même Dieu !! Ce
qui mène à se demander : à quoi vise-t-il ? Ne prend-t-il pas des
mesures ou ne participe-t-il pas pour poser les bases de l'émergence
d'une religion mondiale, malgré son évangélisation du monde ?
En fait, dès son élection le 13 mars 2013, quelques éléments révèlent
l’avilissement : son premier message dès son élection fut pour saluer
les juifs de Rome, il a reçu l’hommage du NOM, des B’nai B’rith, déclare
son engagement pour la fête juive "Hanoucca", et implique l’Eglise dans
les instances mondialistes les plus discutées. Un mois après son
élection il réorganise la curie pour assurer une plus grande
collégialité, ce qui est contraire au titre de "représentant de Dieu"
sur terre, et ne cesse de l’approfondir avec le "Synode sur la Famille".
Ce qui mène à dire que depuis quelques décennies, l’Eglise catholique a
de graves implications politiques, qui la mettent essentiellement dans
les rouages du NOM.
Depuis qu'il est pape, François a exprimé le désir de l'unité avec les
Eglises séparées : orthodoxes, anglicanes, protestantes, malgré le fait
que le Concile de Trente a condamné à l'enfer toute personne qui croit
au salut par la foi en Jésus seul, et lança l’anathème contre tous les
autres groupes. Anathème qui fut renouvelé à plusieurs reprises. En même
temps, il a intensément courtisé les musulmans. Le 20 mars 2013 lors de
sa rencontre œcuménique il dit :
"Je vous salue cordialement et vous remercie tous, chers amis
appartenant à d'autres traditions religieuses, tout d'abord à tous les
musulmans, qui adorent le Dieu unique, vivant et miséricordieux, et
appellent à Lui dans la prière, (…). L'Eglise catholique est consciente
de l'importance de promouvoir l'amitié et le respect entre les hommes et
les femmes de différentes traditions religieuses - je tiens à répéter
ceci: promouvoir l'amitié et le respect entre les hommes et les femmes
de différentes traditions religieuses - cela atteste également du
travail précieux que le Conseil Pontifical effectue pour le dialogue
inter-religieux".
Dans son "Evangelii Gaudium" il pousse encore un peu plus loin en disant
: «Nous ne devons jamais oublier qu'ils [les musulmans] "prétendent
avoir la foi d'Abraham, et avec nous, ils adorent le Dieu unique et
miséricordieux, qui jugera l'humanité le dernier jour". Inutile de
pointer cette irrévérence du verbe "prétendre", puisque sa "Bible de
Jérusalem" dit qu’Ismaël est le fils ainé d’Abraham, avec lequel eut
lieu l’Alliance et que la circoncision fut appliquée à tous les mâles de
la maison, y compris Abraham ! Ni de souligner le "Dieu unique et
miséricordieux", copié de l’Islam et frauduleusement imposé au document
"Nostra Aetate".
Mais cet "amour" publiquement affiché n’empêche que ce même Bergolio, et
les deux papes qui le précédèrent n’ont fait que saper, avec
acharnement, ce même Islam auquel ils se rapprochent, en imposant
l’évangélisation du monde. Bien plus, depuis les années 2000, le Vatican
est inculpé dans les travaux du "Congrès
des religions mondiales et traditionnelles", réunissant toutes les
religions du monde, dans un bâtiment pyramidal, à Astana, pour les
unifier ou pour les noyer toutes en les vidant de leur contenu, de leur
signification singulière.

Empreinte : La main de Nazarbayev

Le globe et le guéridon-empreinte

Globe avec les 17 signataires
Astana, la ville occulte du NOM :
Astana, capitale du Kazakhstan depuis le 10 décembre 1997, est localisée
au cœur des steppes Kazakhe ou steppes asiatiques. Elle a reçu le prix
"Villes pour la paix" de l’Unesco en 1999, et devint membre de
l’assemblée internationale des capitales et grandes villes depuis 2000.
Première ville/capitale construite au XXI° s, Astana représente vers où
le monde se dirige. Erigée sous les auspices de Nursultan Nazarbayev,
président du Kazakhstan, soutenu par des milliards de pétrodollars, elle
est une capitale occulte, embrassant le NOM, en célébrant l’adoration du
Soleil, la plus ancienne des religions.
Le Kazakhstan est un pays unique au monde, il est le foyer de plus de
130 nationalités, et peut-être de toutes les confessions du monde. Avec
une population d'un peu plus de 16 millions de personnes, dans ce pays
se trouvent 42 croyances et confessions, et environ 3000 organisations
religieuses.
Le bâtiment principal, la Pyramide, est dédié à la "Renonciation de la
Violence" et à "Réunir les Religions du Monde". Deux thèmes
particulièrement chers au Vatican ! Le voyage à l’intérieur de cette
Pyramide représente le chemin de l’humanité vers l’illumination : au
sous-sol, se trouve l’Opéra d’Astana, où les masses crédules se
divertissent ; l’espace moyenne, espace centrale de la Pyramide, sert de
pièce de réunion pour les leaders religieux du monde, qui participent à
ces conférences, discutent pour savoir comment réconcilier les
différences pour le New Age à venir, qui vise au remplacement de toutes
les religions par une forme de néo-paganisme. Le sommet de la Pyramide
ou sommet divin : est totalement vitré, avec des dessins de colombes
symboles de la paix, qui se manifestera dans l’unification des
gouvernements mondiaux et des religions dans le NOM.

Salle réunions-sommet

Salle des réunions

Opéra Astana
Kazakhstan a créé un modèle social unique, une société multi-ethnique et
multiconfessionnelle, reconnue comme modèle contre les conflits
religieux qui se répandent de par le monde. C’était une nécessité voulue
sur le plan mondial, disent les haut placés. Astana devint un lieu de
rencontre et une plateforme pour les leaders de la communauté
internationale, qui se réunissent pour des dialogues interreligieux,
considérés comme moyen d’approche des différentes cultures.
Le "Congrès des Leaders du monde et des Religions Traditionnelles", se
tient à Astana depuis 2000. Cinq rencontres eurent déjà lieu, en 2003,
2006, 2009, 2012, la toute dernière en juin 2015 et la prochaine se
tiendra en 2018. Le cinquième Congrès eut lieu le 10 et 11 juin 2015,
sous la présidence du président de la République de Kazakhstan,
Nursultan Nazarbayev, et avait pour thème : "La paix et l’harmonie comme
choix de l’humanité". Quatre-vingt délégations de quarante pays prirent
part, dont Ban Ki Moon, le roi Abdullah II de Jordanie, le Secrétaire
Général de l’Organisation de coopération Islamique, Iyad Amin Madani.
Les thèmes traités sont : Leaders Religieux et Politiciens : la
Responsabilité à l’égard du genre Humain ; Influence de la Religion sur
la Jeunesse : Education, Science, Culture et Mass-médias ; Religion et
Politiques : Nouvelles Tendances et Perspectives ; Dialogue basé sur le
Respect Mutuel et la Compréhension parmi les Leaders du Monde et les
Religions Traditionnelles pour la Paix, la Sécurité et l’Harmonie. La
Session plénière : Dialogue des Leaders Religieux et Politiciens pour la
Paix et le Développement. Tel qu’on le voit, c’est un pas de deux entre
politique et religion…



Présence/Complicité du Vatican :
La nonciature apostolique du Saint-Siège (Vatican), au Kazakhstan, est
l’une des 113 représentations étrangères diplomatiques et consulaires,
et l’une des 63 représentations à Astana. Le Cardinal Jean-Louis Tauran,
président du conseil papal pour le dialogue interreligieux, est le
représentant permanent du Vatican durant les cinq Congrès qui eurent
lieu. Cependant, la présence vaticane est particulièrement voulue,
puisque le président de la République, Nazarbayev, alla personnellement
inviter Benoît XVI, le 6 nov. 2009, pour le troisième Congrès, et lui
présenta comme cadeau la maquette de la Pyramide, principal bâtiment
d’Astana et lieu des rencontres. D’ailleurs cette traîtresse complicité
ne concerne pas seulement le Vatican mais toutes les principales
instances religieuses du monde, hélas, surtout les dix-sept signataires,
représentés sur le globe sis au sommet de la pyramide !

Benoît XVI recevant la maquette de la pyramide
Le phénomène Khazar et Kazakhstan :
Le phénomène khazar désigne des turco-mongoles, un peuple de la steppe
asiatique converti au judaïsme vers l’an 740. Une première dans
l’histoire, de la part d’un peuple n’appartenant pas à l’une des douze
tribus d’Israël mais qui format la treizième ! Une grande partie des
juifs d’Europe orientale, les Ashkénazes, seraient d’origine khazar, se
distinguant ainsi des migrants séfarades du pourtour méditerranéen. Un
peuple qui, pendant plusieurs siècles, domina le trafic marchand de
l’Est occidental. Nombre d’auteurs ont bien décrit l’épopée de ce peuple
qui ne lâche pas prise d’être de parmi les dominants de la terre. C’est
peut-être ce qui permit le choix pour l’Astana.
Un lien de poids est révélé par Mike Harris et Preston James, sur la
véritable histoire cachée de la nation khazar et sa connexion avec le
sionisme mondial Rothschild, centralisé dans la City de Londres, le km2
le plus riche de la planète. La famille Rothschild contrôle entre autre
la Banque d’Angleterre, et elle est la gérante de la fortune
incommensurable du Vatican.
Certains auteurs
font le lien entre le nouveau programme de 2030, d’autres le font avec
la mafia Rothschild-Khazar tenant les ficelles du jeu planétaire.
Quelles que soient les données qui s’entremêlent, pour former
l’arrière-fond ou la plateforme/façade actuelle de la ville d’Astana, où
se déroulent les grands débats internationaux, pour formuler la religion
du Nouvel Ordre Mondial, cela est une réalité que personne ne peut plus
nier ou contester, hélas : le site officiel de ces Congrès comprend la
liste de tous les participants aux cinq rencontres, photos y compris.
La Révélation d’Arès (RA) et l’Astana :

Le développement particulièrement rapide de nouveaux mouvements
religieux, un peu partout depuis quelques décennies, allant de pair avec
la globalisation, attire l’attention, à ne citer que les mormons, l’aunisme,
le caodaïsme, l’église dite de réveil, l’église de l’unification, les
Brahma kumaris, les Bahaïe, le syncrétisme, le néosyncrétisme ou le
noachisme. Tout ce pullulement de mouvements ou de sectes ne fait que
démonter ou déstabiliser les religions séculaires pour faciliter leur
évincement.
Le noachisme est une religion universelle (loi de Noé), issu directement
du judaïsme, allant de pair avec une politique universelle, et
s’applique uniquement aux non-juifs ! De son point de vue noachique, le
catholicisme doit procéder à une refonte complète rejetant la Trinité et
la divinité de Jésus. Ce qui le rapproche de ce que dit la RA très
nettement, citée à titre d’exemple. La constitution d’une religion
universelle étant le but final du judaïsme, la RA ne termine-t-elle pas
son message en faisant d’Israël "la nation préparée pour accomplir la
Parole" (encadré p. 53) ?
Si la Révélation d’Arès lance la pratique de l’amour du prochain, incite
à dépasser les systèmes religieux et politiques, à établir une équité
universelle par-delà les différences des croyances, elle n’a pas pour
vocation d’être une religion régie par une institution, dit son auteur,
et laisse une liberté totale aux hommes, puis de préciser : "Tout est
préparé pour que disparaissent les religions, la politique, la
civilisation matérialiste actuelle" ! N’y a-t-il pas là un lien très
clair avec ce qui se passe à Astana ?
En ce qui concerne le christianisme, la RA remet en cause les données
des évangiles : traite la Trinité d’élucubration ; nie la divinité de
Jésus ; nie la filiation consubstantielle, attaque l’appareil clérical,
appelle à la refonte des évangiles pour en faire : "l’évangile
israélien" ! Si la mission Potaïste ne couvrait, avec certitude, que
l’aire de la chrétienté, et qu’à partir de 1995 Potay intègre les pays
islamisés, cela n’empêche que dans l’introduction de l’édition 2009,
Potay précise : "La Révélation d’Arès ne fonde donc aucune religion,
politique ou loi nouvelles et envisage plutôt la disparition naturelle
de celles existantes". Et la toute dernière phrase d’ajouter : "C’est
pourquoi, enfin, ce livre ne peut déboucher, une fois accomplit (35/6),
que sur un monde changé (28/7) sans religion, ni politique, ni lois, ni
institutions interventionnistes ou dirigistes". N’est-ce pas au fond ce
à quoi appellent et fonctionnent les Congrès de l’Astana ?!
Faire le lien entre la RA et ce qui se passe à Astana semblerait une
gageure mal placée aux yeux des pénitents arésiens, qui acceptèrent
cette révélation et surtout l’incarnation de Jésus, en chair et en os,
comme fait accomplit. Cependant, un regard sur les évènements en cours
justifierait ce rapprochement. A part tout ce qui précède, un autre lien
entre la RA et les Congrès de l’Astana se trouve dans le mot Steppes,
qui représente l’arrière-fond géopolitique du Kazakhstan, et qui parait
cinq fois dans le texte de l’Evangile d’Arès : les versets 28/3-5 ;
28/10 ; 28/20-21 ; 31/01 ; et 31/05. "Il n’y a pas de steppes qu’en URSS
ou en Chine rouge", précise Potay dans le commentaire du verset 28/5,
éd. 2009, donc c’est dans ces steppes-là qu’il a affaire. Puis d’ajouter
dans la même note : "la redistribution du monde n’est pas un ordre
marxiste, mais évangélique depuis 2000", et termine la note du 4e verset
: "Dieu appelle à l’aide des athées ou des idolâtres dans toutes sortes
pour préparer le monde futur" !
Le verset 28/10 se termine par : "avec tes frères des steppes, et qui ne
prononcent pas Mon Nom, tu établiras l’équité", donc non seulement Potay
a affaire avec ses frères des steppes, mais c’est un drôle de "Jésus"
qui incite son messager à coopérer, avec ces gens de la steppe, qui
visent à éliminer les religions ! Le verset 28/11 continue le sens :
"Mieux vaut qu’elle s’établisse sans Mon Nom plutôt qu’en Mon Nom règne
ce que j’ai en horreur". Et Potay de dire (éd 2009), "C’est d’Arès que
part l’appel à unir tous les croyants (et d’abords les fils d’Abraham :
chrétiens, juifs, musulmans 35/11, veillée 25) et les incroyants (ceux
qui ne prononcent pas le nom de Dieu) pour qu’ils abattent ensemble les
systèmes religieux, politiques, raciaux, économiques, et libèrent
partout l’oppressé et le spolié". Les juifs/sionistes étant seigneurs et
maître de ce grand sabotage du monde, on ne peut que faire le
rapprochement de ce qui se passe à Astana avec le message final de la
Ra, citée comme exemple entre tant d’autres.
Dans les notes de l’édition 2009, qui diffèrent foncièrement des autres
éditions, Potay précise en expliquant les versets 28/20-21 : "C’est
l’annonce du grand bouleversement qui installera la civilisation
nouvelle, chantier de l’éden primordial à rebâtir" ! Inutile d’ajouter
que l’Eden se trouvait là-haut, dans le ciel, d’où le Bon Dieu chassa
Adam et Eve et les envoya sur terre…
Pour résumer tout ce qui précède, on peut dire : les Jeux sont faits,
les préparateurs des évènements à venir tiennent si férocement à leur
plan, qu’il est serein de rappeler un Verset plein de sens : "Et lorsque
ceux qui devinrent mécréants planifiaient contre toi pour t’emprisonner,
ou te tuer, ou te chasser. Ils rusent et Allah Planifie, mais Allah Est
le Meilleur des Planificateurs" (8 :30).
Zeinab Abdelaziz
Samedi 7 novembre 2015
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http://www.paulmcguire.us/nwv092815.html
http://www.religions-congress.org/index.php?lang=english
http://www.un.org/ga/search/view_doc.asp?symbol=A/RES/70/1&Lang=F
http://wordpress.catholicapedia.net/wp-content/uploads/2012/08/La_religion-noachide.pdf
النظام العالمى الجديد ودِين أستانة !